Posture professionelle

Alexis GUICHARD vous propose des prestations de réflexologie INGHAM et Chinoise en cabinet et à domicile sur les méridiens d'acupuncture sans aiguille en digito-pression douce (avec les doigts), ces méridiens sont exactement ceux utiliser en Médecine Traditionnelle Chinoise (MTC), c'est un massage corporel spécifique visant à soulager des douleurs et participe au bien-être physique et émotionnel suivant un protocole personnalisé.

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L'amélioration de l'état de santé n'est pas seulement dû au protocole de massage mais survient dans l'accumulation des bonnes habitudes d'hygiène de vie et du bon suivi du parcours de santé conventionnelle, ma vision est de partir du principe que ma pratique est complémentaire et que chaque professionnel doivent collaborer ensemble dans l'intérêt du consultant.

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Dépassement du jugement

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J'exerce cette activité pour vous aider pas pour vous juger.

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Définition de la notion de métier du bien-être

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Définir la notion de métier du bien-être par leur spécificité et la diversité des disciplines, ces métiers favorisent globalement le mieux-être et l’équilibre des personnes à travers un large choix de techniques comme la cohérence cardiaque, la médiation, les techniques massage et de digito-pression sur méridien.
Chaque action de bien-être peut être associée à la notion d'accompagnement d'un client vers un état de relâchement physique et intellectuel. On associe le bien-être au principe de se sentir mieux.
Les métiers du bien-être, contribuent également préventivement à l’entretien du capital santé (préventif) des personnes, en complémentarité avec les métiers du secteur médical (curatif). Bien sûr, chaque secteur évolue dans le sens de son domaine sans intention d'intervenir dans un secteur adjacent.

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Le professionnel du bien-être reconnait de fait qu'il n'est pas en mesure de soigner tel que le ferait un professionnel de santé.

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Les métiers du bien-être ont pour principale vocation l’amélioration de la qualité de vie au quotidien des clients, en les aidant à gérer leur stress, à réduire leurs tensions, à mieux vivre avec leur corps ou encore à conserver une bonne vitalité.
Les professionnels des métiers du bien-être maîtrisent les limites d'exercices liés à leur profession, ils sont en étroite collaboration avec les professionnels de santé dont la situation relève du secteur médical, paramédical ou autre professionnel.

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Le professionnel exerce ses fonctions, dans le respect de la vie, avec humanité, dignité, conscience, indépendance et probité.
Il fait preuve, à l’égard de ses clients, de compétence, de dévouement, de diligence et de prudence dans une absolue volonté de protection.
Le professionnel reconnaît et a conscience que les techniques de bien-être ne sont ni des pratiques médicales, ni une idéologie.
Ces techniques s’inscrivent dans le domaine de la prévention, de l’accompagnement, du bien-être et de l'entretien du capital "vitalité" du client.

En conséquence, il s’interdit :

- de poser un diagnostic quel qu’il soit ;
- d’interrompre ou de modifier le traitement médical suivi par son client ;
- de conseiller ou prescrire des médicaments ou assimilés ;
- plus largement, de se comporter ou de se substituer à un professionnel du secteur médical.
Conscient de ses limites et de son rôle complémentaire, le professionnel du bien-être orientera immédiatement son client vers un médecin ou un spécialiste en cas de doute sur son état de santé. Il s'abstiendra également d'accompagner un client dont la situation n'est pas compatible avec les techniques de bien-être.

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Formation initiale et continue

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Conformément au principe essentiel de protection des usagers, le professionnel du bien-être doit avoir suivi une formation initiale de qualité et obtenu une certification des compétences acquises. Il s'engage à suivre des formations initiales ou de perfectionnement et à se tenir informé des dernières connaissances et techniques dans ses domaines de compétences. Il met en place une veille métier scientifique et juridique pour compléter ou adapter ses connaissances. Il s'engage également à se former aux dernières évolutions des techniques qu'il utilise, dans tous les domaines où il exerce.

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La prolifération de formations douteuses dans le bien-être : une dérive inquiétante

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Je constate une multiplication de formations dans le domaine du bien-être, souvent présentées comme des voies rapides pour devenir praticien dans des métiers exigeants et réglementés. Ces initiatives soulèvent de sérieux problèmes éthiques et professionnels. Un exemple frappant est celui des formations en "ostéothérapie". On promet, en quelques dizaines d'heures de cours, la possibilité de s'installer comme "ostéothérapeute". Cela revient à usurper un métier qui demande cinq années d'études rigoureuses pour devenir ostéopathe. Peut-on vraiment prétendre maîtriser un domaine aussi complexe avec une poignée de manipulations et quelques notions d'acupression ? Ces pratiques ne sont pas seulement un manque de respect pour les professionnels formés : elles mettent aussi en danger la santé des patients. Elles créent une confusion dans l’esprit du public et risquent de discréditer des métiers qui exigent de vraies compétences et un savoir-faire éprouvé.

Face à ces dérives, il est urgent de mieux encadrer les formations dans le domaine du bien-être. Les clients doivent être protégés, et les professions réglementées respectées. Offrir des formations qui prétendent remplacer des études longues et complexes est irresponsable, voire dangereux.